L'ORMUS

Regular Price
€0.00
Sale Price
€0.00
Regular Price
Sold Out
Unit Price
Translation missing: en.general.accessibility.unit_price_separator 
Shipping calculated at checkout.

Livraison entre 2 et 5 jours

Dans le monde actuel, l’Institut des Études Avancées (Austin, Texas) a décrit l'Ormus comme « matière exotique », et sa supraconductivité (une de ses caractéristiques principales) a été déclarée par le Center for Advanced Studies (université de l’Illinois) comme étant « la propriété physique la plus remarquable de l’univers ». 

Dans un article du numéro de mai 1995 du Scientific American, les effets du métal ruthénium, du groupe platine, étaient abordés en relation avec l’ADN humain.

On y observait que lorsqu’un unique atome de ruthénium était placé à chaque extrémité d’un brin d’ADN court, ce brin devenait 10 000 fois plus conducteur. Il devenait en fait un supraconducteur.

Depuis quelque temps, les chimistes se doutaient que le double hélicoïde pourrait créer, dans l’axe de la molécule, un chemin hautement conducteur, et nous en avions ici la confirmation.

Pareillement, la Platinum Metals Review a régulièrement publié des articles concernant l’utilisation du platine, de l’iridium et du ruthénium dans le traitement des cancers.

Lorsque l’état d’un ADN est modifié (ce qui est le cas dans un cancer), l’application d’un composé de platine entrera en résonance avec la cellule déformée, provoquant la détente de l’ADN et sa rectification.

Un tel traitement n’implique aucune chirurgie ; il ne détruit pas les tissus environnants par des radiations et n’agresse pas le système immunitaire, comme le font la radiothérapie et la chimiothérapie.

La profession médicale s’intéressa au haut spin lorsque la division de recherche biomédicale de la compagnie pharmaceutique Bristol-Myers Squibb annonça que les atomes de ruthénium interféraient avec l’ADN, corrigeant la malformation de cellules cancéreuses. (L’or et les métaux monoatomiques du groupe platine sont en fait des « atomes furtifs », et il est à présent établi que les cellules du corps communiquent entre elles par l’intermédiaire des atomes furtifs à travers un système d’ondes lumineuses).

Ce que la nouvelle science découvre, c’est que le ruthénium monoatomique entre en résonance avec l’ADN, démonte l’hélicoïde court et le reconstruit correctement ; exactement comme on démonte et reconstruit un bâtiment en mauvais état.

On sait que l’iridium et le rhodium ont tous deux des qualités anti-vieillissement, tandis que les composés de ruthénium et de platine interagissent avec l’ADN dans le corps cellulaire.

On sait également que, dans leur état monoatomique à haut spin, l’or et le platine peuvent activer le système glandulaire endocrinien au point de porter la conscience, la perception et les aptitudes à des niveaux extraordinaires.

À cet égard, on estime que la poudre d’or à haut spin a un net effet sur la glande pinéale, augmentant la production de mélatonine.

Pareillement, la poudre d’iridium monoatomique a un effet similaire sur la production de sérotonine de la glande pituitaire, et réactiverait
«l’ADN-rebut» ainsi que les zones du cerveau imparfaitement exploitées, ou pas du tout. (.../…)


Source : http://www.b-harmony.com/calendrier/barry_carter.htm