Les éléments ORMUS, une manne pour l'humanité
Les éléments ORMUS, Ils sont partout, dans l’eau, l’air, la terre, depuis la nuit des temps, mais ils n’ont été mis en évidence scientifiquement que dans les années 70, par hasard…
Les ORMUS sont des éléments en métal précieux témoignant d’un quatrième état de la matière, ni solide, liquide ou gazeux, un état M jusque-là inconnu de la science et qui leur confère des propriétés physiques extraordinaires : invisibilité, téléportation, supraconductivité, capacité à infléchir l’espace-temps…
Sur le plan biologique, les ORMUS constituent des minéraux nutritifs très intéressants pour l’agriculture et la santé, y compris dans le traitement du cancer.
Des caractéristiques qui ne sont pas sans rappeler « l’or blanc » des alchimistes, la pierre philosophale ou la manne biblique…
L’histoire commence en Arizona à la fin des années 70 avec un riche planteur de coton nommé David Hudson. Le sol volcanique de cette région étant connu pour posséder des propriétés rares et renfermer des métaux précieux, Hudson entreprend un beau jour d’en commander l’analyse quantitative complète.
Stupéfaits, les laborantins constatent qu’une partie des éléments défie toute analyse : on n’y décèle aucune caractéristique métallique, aucune réaction chimique et aucune signature spectroscopique !
L’un des chercheurs propose alors de prolonger l’analyse du spectre. Ce n’est qu’à ce moment-là que commencent à apparaître les caractéristiques spectrales, et que se révèle, à la surprise générale, la présence de métaux précieux !
Disposant de moyens financiers considérables, Hudson décide de pousser plus loin les investigations, et engage des chimistes pour résoudre cette énigme. Les résultats détaillés figurent dans le brevet qu’il a déposé .
Il donne ensuite de nombreuses conférences publiques, pourtant, pas un seul article ne paraît dans la presse scientifique.
Bien qu’aucune recherche universitaire officielle ne semble être en cours, un groupe informel de scientifiques et de profanes planche sur la question depuis quelques années.
Sans aucun financement ni soutien d’un laboratoire officiel, et sans le moindre lien avec Hudson, ce groupe a réussi à reproduire certains de ses résultats. Leurs travaux, de même que ceux d’Hudson, sont présentés dans les articles que Barry Carter, grand spécialiste des éléments ORMUS, publie sur un site Web très complet et très instructif.
Il existe aussi plusieurs forums sur Internet, dont l’un, animé par des passionnés de sciences, aborde les divers aspects chimiques et physiques de ces matériaux ainsi que les méthodes d’extraction et d’analyse.
Des métaux monoatomiques : Avec ces éléments, nous entrons dans une ère nouvelle et très complexe où nous avons tout à apprendre. On peut considérer qu’un nouveau chapitre de la physique, de la chimie et de la biologie est en train de s’ouvrir.
Au vu des travaux d’Hudson et de ce groupe indépendant , il semble désormais incontestable qu’un certain nombre de métaux précieux (et d’autres moins précieux), parmi lesquels le rhodium, l’iridium, l’or, le platine, le palladium et le cuivre, peuvent être isolés à l’état solide bien que non métallique, sous forme d’une poudre grise ou blanche aux propriétés extraordinaires.
Hudson baptise d’abord ces éléments ORME, Orbitally Re-arranged Monatomic Elements [Éléments Monoatomiques à Orbites Réorganisés].
À ce moment-là, il croit que les électrons des ORME sont réorganisés de telle sorte qu’ils ne se prêtent plus aux réactions chimiques.
Selon lui, les liaisons qui assurent normalement la cohésion des atomes de métaux à l’état solide sont manquantes ; ces métaux seraient donc monoatomiques.
Des recherches ultérieures indiquent la présence d’éléments diatomiques et de liaisons instables avec d’autres éléments, en particulier les métaux alcalins.
Les éléments ORME s’appellent désormais ORMUS. On dit également qu’ils sont à l’état M. Supraconducteurs ? Selon Hudson, les électrons ainsi réorganisés formeraient des paires de Cooper (co-auteur de la théorie de la supraconductivité), susceptibles de devenir supraconductrices à des températures normales.
En fait, la découverte des ORMUS ne date pas de ces dernières décennies. Selon Barry Carter, qui se passionne pour les ORMUS depuis 1989 et sillonne le monde pour les faire connaître.
On en retrouve la trace jusque chez les Mésopotamiens et les Égyptiens. Ce qui est vraiment étonnant au sujet de cette énigmatique poudre blanche d’or, à spin élevé, et des métaux platinoïdes, c’est que leur découverte n’est en fait pas récente. (.../...)
Les anciens Mésopotamiens l’appelaient shem-anna et les Égyptiens la désignaient par mfkzt (la traduction des hiéroglyphes omet les voyelles), tandis que les Alexandrins la vénéraient comme un don du Paradis, et plus tard des chimistes, tel Nicolas Flamel, l’appelèrent la Pierre philosophale.
À toutes les époques de l’histoire, la « poudre de projection » sacrée était réputée posséder d’extraordinaires pouvoirs de lévitation, de transmutation et de téléportation.
On disait qu’elle produisait une lumière brillante et des rayons mortels, tout en étant la clef d’une longévité physique active.
Dans la mythologie grecque, la quête de cette substance était au centre de la légende de la Toison d’Or, tandis qu’en termes bibliques, c’était le domaine mystique de l’Arche d’Alliance, le coffre en or que Moïse ramena du Sinaï et qui fut ensuite conservé au temple de Jérusalem. (.../...)
Dr Roger Taylor - 2006
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